sean aaron sallinger

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généralités

date de naissance : le 12 juillet 1995 - lieu de naissance : Londres - nationalité :Anglaise - situation sociale : milieu aisé - situation maritale : célibataire,  mais amoureux- séxualité : hétéro - emploi ou étude : universitaire en première année de médecine - signes particuliers : Il n'aime pas vraiment ça ... Sa personnalité doit ressortir de lui-même, pas par moyen de dessins ou de trous débiles dans la peau. - croyances : Aucune, a moins que l'on lui amène une preuve scientifique par A+B.  - handicap : Aucun

titre de l'anecdote

Courageux,« Ecoute … Fais juste attention à toi, ok ? C’est tout ce que je te demande. On ne sait jamais ce qui peut arriver. » Elle me répondit avec un sourire des plus éclatants, que tout allait bien aller, que c’était juste une question de coup de main. Puis, elle partit vers la rive avec son frère, planche à bout de bras tandis que moi je les regardais s’éloigner sur la plage. Je n’étais quand même pas rassuré, mais je savais que je pouvais faire confiance à son frère et à son expérience. C’était nos toutes premières vacances avec Leelou, son frère, et moi. Nous avions pris quelques jours pour se retrouver sur la côte est, profiter de la mer et du soleil. Je n’étais pas trop fan de surf, si je devais faire un sport, je voulais faire quelque chose de plus poussé, quelque chose qui vous prend bien aux tripes … Un saut à l’élastique, ou peut-être même du haut vol pourquoi pas, m’enfin, qui vous fout une bonne dose d’adrénaline dans le derrière. Bref, je ne me serais peut-être pas autant inquiété si ce n’était pas Leelou qui était sur la planche … C’est peut-être un peu méchant de dire ça mais c’est la vérité. Cette fille, je l’avais dans la peau autant que j’ai besoin d’air pour respirer. Et si elle m’échappait, je ne serais sans doute plus qu’un amas de chair que l’on devrait ramasser à la petite cuillère. Ainsi, elle s’éloignait de moi et je passai plusieurs longues minutes à les fixer, affalé sur les serviettes pour éviter qu’elles ne s’envolent avec le vent.

Une fois que Lee’ sut maîtriser sa planche, je vis alors son frère revenir vers moi, mais je préférai garder tout de même un œil sur elle, car j’avais un mauvais pressentiment … Tout n’avait pas été fait pour, pourtant, les vagues n’avaient pas l’air bien méchantes, le vent ne soufflait pas fort et personne ne marchait sur les autres … Cependant, il n’a fallu qu’une seconde pour que Leelou perde l’équilibre à cause d’une vague mal maîtrisée et finisse à l’eau. Son frère et moi nous étions tout de suite arrêté de discuter et à attendre avec horreur qu’une tête rousse en ressorte de l’eau … Une seconde, deux secondes, trois secondes … C’était insupportable. D’un geste bien calculé j’avais enlevé mon t-shirt d’un seul coup avant de me redresser et courir sur la plage, alors que les gens se poussaient autour de moi. La seconde suivante, j’étais déjà dans l’eau, nageant le plus rapidement possible vers la planche esseulée, car les poumons humains, eux, ne tiendraient sans doute pas longtemps à une immersion prolongée. Et plus le temps filait, plus j’avais peur pour ma meilleure amie. Retenant ma respiration et plongeant enfin ma tête sous l’eau, je m’éloignais sans aucune sensation de peur de la surface, jusqu’à apercevoir la chevelure de feu de mon amie. Leelou semblait inconsciente, le pied crocheté par une algue. Voilà donc pourquoi elle ne remontait pas. La force de l’eau ne pouvant pas retenir plus longtemps mes gestes, je pris alors le corps de Leelou inanimé contre moi, tirant d’un seul coup pour libérer son pied de l’algue enroulée, et bien vite, je me propulsai d’un seul coup vers la surface, commençant aussi à manquer d’air. La suite ne fut qu’un enchaînement d’actions, de gestes, de paroles qui se sont entassés violemment dans ma mémoire. La peur m’avait pris. J’ai sorti Leelou de l’eau et l’a allongé doucement sur le sable, son visage inerte me faisant froid dans le dos. Machinalement, j’avais commencé un massage cardiaque, l’appelant sans retenue en espérant qu’une chose, qu’elle daigne me répondre … Mais je n’arrivais pas à la ramener. Levant un regard presque embué vers son frère, une phrase nette et précise était sortie presque de façon violente de mes lèvres. « Appelle les secours ! »

parlons un peu de moi...

Que dire sur ma vie ? A part que tout va bien pour le moment et que je pourrais sans doute me considérer comme l’un des gars les plus épanouis de la ville ? Il y a toujours des petits défauts et malgré que je sois pas mal entouré, d’une famille responsable, des amis géniaux et un avenir bien précis, j’ai toujours quelque chose qui vient obscurcir ce beau tableau. Mais laissez-moi plutôt vous expliquer comment j’en suis arrivé jusque-là.

J’ai vécu ici la majeure partie de ma vie à Denver, dans une petite maison avec ma famille. Enfin, ma famille d’accueil, car je suis un enfant adopté, mais cela ne m’a pas empêché de les considérer comme ma véritable source, ce sont tout de même eux qui m’ont vu grandir. J’ai une grande sœur, une belle brune aux yeux pétillants à qui je peux tout raconter.  Mes parents eux, ont toujours eu cet ascendant sur moi qui ai fait de moi ce que je suis aujourd’hui. Mon père adoptif est un médecin très réputé de la ville, et ma mère a toujours veillé sur mon éducation et m’a aidé à forger mes propres valeurs. Je suis quelqu’un de bien à ce qu’on me dit, j’ai toujours un œil sur mes proches et ce fut naturellement que j’ai été guidé vers des études de médecine. Pour être chirurgien, généraliste ou même infirmier, je ne sais pas encore. Néanmoins, j’ai toujours eu ce goût prononcé pour prendre soin des gens qui m’entourent. Les maths, les sciences appliquées ainsi que de longues heures à passer derrière un bureau pour y parvenir ne me feront jamais peur, ou flancher dans ce but que je me dois de parvenir. Pour ma vie, et pour celle sur qui je veille. Cette chevelure rousse que j’ai toujours connue et aimée comme jamais je ne l’ai fait. Cette petite Leelou qui rayonne dans mon existence même si elle ne se rappelle plus de moi, plus de ces belles années d’amitié que nous avons traversées ensemble. Encore pire, après cet accident à la plage, elle ne se souvient plus de mes sentiments brûlants pour elle mais que j’ai toujours eu un mal fou à lui avouer. La vie est dure, mais c’est comme ça. S’il faut que j’attende la moitié de mon espérance de vie pour qu’elle le comprenne enfin de nouveau, je le ferai, sans aucune hésitation. Est-ce ça l’amour ? J’en suis maintenant persuadé. Mon arrivée à Collinsport s’est fait naturellement suite à une mutation de mon père adoptif pour travailler dans l’hôpital de cette ville nouvelle. Un nouveau départ, un nouveau lieu, une nouvelle histoire s’offrait à nous. J’allais sûrement me faire pleins de nouveaux souvenirs mais heureusement que Leelou n’était toujours pas loin derrière moi puisque sa famille aussi avait eu l’opportunité de déménager en ce nouveau lieu elle aussi. Je me demande bien ce qu’il va m’arriver ici. L’université qui allait m’accueillir pour mes longues études de médecine avait l’air d’être un établissement de haut niveau, peut-être que mon rêve allait enfin se réaliser. Pourtant, il y a quelques jours, Collinsport allait aussi devenir le témoin de retrouvailles inattendues ...  Une femme avait pris connaissance avec ma famille d'accueil, une amie de ces derniers. Plus tard, on m'apprit avec des pincettes que c'était en réalité ma mère biologique. J'en fus bien sûr surpris et troublé, mais quelque chose en moi n'était pas encore prêt à accepter cette vérité. J'avais toujours vécu avec ma famille d'accueil et je n'ai pas cette intention de me séparer d'eux pour autant ...

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pseudo/prénom : sweet-madness - date de naissance : 2 mars 1995 - pays ou tu résides : france - série du moment : TEEN WOLF ♥ - aliment préféré : chocolat - ce que tu penses du forum : très joli et thême bien monté. *-* -emploi ou étude : Terminale Littéraire - signes particuliers : tatouages, piercing... -

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